
Mettre les écrivains en cabane, c’est ce que nous faisons en bande organisée.
Bien sûr, la référence au lac Walden de Thoreau ne vous aura pas échappé. Tout comme lui, nous rêvons de nous «encager» auprès des oiseaux, nous perdre et nous retrouver sans GPS et sans Wifi au milieu des arbres et des champs. Mais notre désir n’est pas de nous retirer du monde. Au contraire, nous voulons renouer avec ses pulsations. Car écrire, c’est être nostalgique du réel.